17 Avril 2016
Lorsque les actes d'abus sexuels des pervers sont dénoncés, ils ont une réaction négative ou inattendue par le public. Les abuseurs sont à la quête d'une jouissance qu'ils ont du mal à se priver en admettant les faits. Étant pris en flagrance délit ou si les preuves sont très accablantes, les abuseurs essayeront de minimiser ou continuer à nier les faits. Les conséquences sont très dévastatrices sur la victime.
1. Les abuseurs admettent rarement leurs actes. Le pervers est doué dans l'art de tromperie. Il arrive qu'ils parviennent à se faire passer pour un agneau et éviter d'induire en erreur les professionnels. Les abus sexuels peuvent créer un sentiment de dégoût poussant le professionnel à vite régler la situation, ce qui arrangera bien l'abuseur et met le professionnel en statut de complice. "Qui a bu, boira", il est plus facile de voir un abuseur recommencer ses pratiques que d'arrêter totalement. L'abuseur dans sa ruse, peut créer deux actions chez ses accusateurs ou les enquêteurs :
2. Les abus sexuels : source des troubles psychiatriques.
On observe souvent les pervers sexuels se plonger dans la consommation excessive d'alcool ou de drogues pour tasser leur anxiété, angoisse ou dépression. Ils peuvent passer à des actes suicidaires ou sombrer dans les troubes de personnalité. Cette attitude n'arrange pas sa situation plutôt l'encourage à recommencer ou à continuer ses pratiques de manière accrue. Ils doivent être suivi et soignés. L'abus sexuel est un couteau à doubles tranchants, car il détruit psychologiquement la victime et l'abuseur.